C’est le 22 avril que sortira la suite des aventures de l’héroïne de Laurell K. Hamilton. Ou plutôt les suites...

Avant d’entrer dans le vif des sujets, un petit rappel de circonstances : comme la plupart des séries jusqu’ici publiées en grand format chez Milady, Anita déménage chez Bragelonne. Une réédition du tome 11, Péchés céruléens, est d’ors et déjà disponible dans la collection mère et Rêves d’incube devrait avoir suivi depuis. Bien entendu, les poches continueront à être publiés chez Milady

Ceci étant dit, passons à ce fameux volume 13. Avant d’évoquer les trois choses qui rendront ce Micah si spécial, intéressons-nous au pitch de ce nouveau volume : désireux d’interroger un témoin décédé, le FBI fait une nouvelle fois aux dons de réanimatrice d’Anita. Mais cette fois, c’est à Philadelphie que l’exécutrice fera parler son art.

Pour l’occasion, elle est accompagnée de son nouveau partenaire. L’exécutrice était ravie de cette escapade, jusqu’à ce que son amant ne lui fasse remarquer qu’ils se retrouvent seuls pour la première fois. Juste lui, Anita… et tous les doutes de cette dernière.


L’illustration est évidemment signée Anne-Claire Payet. Graoooh.

Passons maintenant à la surprise. Aux trois surprises, plutôt.

Les plus fins connaisseurs de l’œuvre de Madame Hamilton savent pertinemment que cette histoire de la tueuse de vampires est relativement courte, par rapports aux derniers tomes. Puisque cela faisait quelques temps que nous voulions proposer aux lecteurs des nouvelles de bit-lit (comme le prouve notamment la récente sortie de l’anthologie Philtres et potions) il nous a semblé judicieux de nous servir de cet handicape apparent pour associer au livres quelques nouvelles inédites se situant dans la même continuité. Elles sont toutes trois issues du recueil Strange Candy.

  • Il y aura tout d’abord Ceux qui cherchent le pardon (Those wo seek forgiveness). Cette histoire est la toute première mettant en vedette Miss Blake, dans l’ordre chronologique de sa biographie ! Nous la découvrons ici alors qu’elle fait ses premières armes dans la réanimation, à son compte. L’action se déroule dans le cimetière où Anita s’apprête à faire son travail
  • Maison à vendre (Selling house) porte bien son nom. Si aucun des personnages croisés durant la série n’intervient dans ce texte, elle se déroule bien dans le même monde. Après tout, vous en connaissez beaucoup, des agents immobiliers censés vendre une maison hantée ? Cette histoire est la réponse de Laurell à la question : comment font les vampires, les garous et toutes les créatures surnaturelles pour simplement se loger ?
  • Enfin, il y a La fille qui était fascinée par la mort (The girl who was infatuated with death). Sous ce titre sonnant comme un roman de Stieg Larsson se cache une histoire qu’il faut situer entre les tomes 8 et 9, Lune bleue et Papillon d’obsidienne. Anita est engagée pour trouver la trace d’une adolescente qui a disparue. Alors qu’elle faisait en sorte de l’éviter, la tueuse est contrainte de contacter Jean-Claude. Sa seule piste mène invariablement vers lui…


Voilà pour ce menu exceptionnel. Le 22 avril vous aurez un ouvrage moins épais qu’à l’accoutumée, mais plus qu’il ne l’aurait été à la base ! Par ailleurs, notez que le prix de ce nouveau grand format s’en ressentira : 17 € au lieu des 25 habituels…

Encore un tout petit peu de patience… plus qu’un petit mois à attendre pour ce tome 13… puis environ six autres pour voir arriver le quatorzième, Danse macabre !

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