Parce qu’on n’a pas eu l’occasion de vous parler de ce titre vachement intéressant du mois dernier, on se permet d’y revenir pour que vous ne passiez pas à côté !

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Si vous avez écouté le premier épisode de Studio B (le podcast de Bragelonne, à écouter ici) vous avez entendu Stéphane Marsan dire le plus grand bien du roman d’Adam Nevill lors d’un aparté.

Et pour cause, Appartement 16 est un roman qui tue. (Pas autant que ledit appart, rassurez-vous.)

Certaines portes devraient toujours rester fermées…
À Barrington House, un immeuble de grand standing dans un quartier chic de Londres, un appartement est inoccupé. Personne n’y entre, personne n’en sort. Et c’est comme ça depuis cinquante ans. Jusqu’au jour où Apryl, une jeune Américaine, débarque à Barrington House pour visiter l’appartement que lui a légué une mystérieuse grand-tante. Cette dernière, morte dans d’étranges circonstances, a laissé un journal intime où elle révèle avoir été impliquée dans des événements atroces et inexplicables, plusieurs décennies auparavant. Résolue à découvrir la vérité sur ce qui est arrivé à sa tante, Apryl commence à reconstituer l’histoire secrète de Barrington House. Une force maléfique habite l’immeuble et l’entrée de l’appartement seize donne sur quelque chose de terrifiant et d’inimaginable…

Adam Nevill nous emporte dans son monde, grandement inspiré par l’œuvre de Lovecraft, mais également par les films de David Cronenberg. D’ailleurs, le jargon cinématographique est assez utile pour décrire le bouquin.  Ainsi, l’auteur maitrise parfaitement bien le hors-champs. Grâce à sa plume, le lecteur entrevoit des choses qui apparaissent au coin de l’œil. Des choses… assez peu amusantes. Et à l’instar de ces deux modèles, ce que Nevill laisse à l’imagination est... indicible.

Appartement 16, c’est un roman terrifiant. Si vous aimez les histoires d’épouvante, et plus particulièrement de possession, ben, c’est pour vous.

Le roman est disponible en librairie.

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