La géniale écrivaine a publié sur son blog une interview réalisée par Serge Perraud.


Pour ceux qui l’ignoraient, l’actualité toujours riche d’Anne Duguël / Gudule est centralisée depuis quelques mois sur le blog personnel de cette dernière. Ceux qui la suivent depuis belle lurette savent d’ailleurs que « riche » est toujours un euphémisme, lorsqu’on parle d’elle…

Couverture de la collection L'ombre pour le mois de Mars          Les Filles mortes se ramassent au scalpel de Gudule ; illustration d'Anne-Claire Payet

Cette interview revient notamment sur les deux volumes compilant ses courts romans horrifiques : Le Club des petites filles mortes et Les Filles mortes se ramassent au scalpel.


Morceau choisi :

Le premier volume du Club des petites filles mortes met en lumière un fait qui échappe en lisant vos romans au fil des années : c’est le nombre de petites filles qui meurent sous votre plume. Pourquoi vous acharnez-vous ainsi sur ces frêles créatures ?
La même question m’a été posée par Stéphane Marsan, directeur des éditions Bragelonne, quand je lui ai proposé ce projet. Je lui ai répondu « C’est de ma propre enfance que je me débarrasse ». Il s’agit, bien sûr, d’une pirouette ! Quoique… Mais pour parler plus sérieusement, je crois que ce n’est pas un hasard si les enfants – et en particulier les fillettes, symboles de pureté et d’innocence — ont une place de choix dans la littérature et le cinéma fantastiques. Tout comme l’amour, l’horreur naît des contrastes !


La suite se trouve par ici ! Wink

 

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