Le dernier-né de l’ami Wietzel continue de satisfaire un lectorat pourtant de plus en plus exigeant. Parce que la nouvelle est assez rare dans le paysage littéraire francophone, on s’empresse de vous faire savoir que le roman a dernièrement reçu une note incroyable de la part d’un important prescripteur…

Les Dragons de la cité rouge d'Erik Wietzel ; illustration de Benjamin CarréEn effet, le webzine Psychovision (qui s’est d’ailleurs refait une beauté) a attribué au roman d’Erik la note suprême, un joli 10/10 ! Voici un extrait de la chronique élogieuse signée par "Le Cimmérien" :

Il m'en faut peu pour être heureux. Donnez-moi un bon glaive, ici en l'occurrence des couteaux, et un dragon à chevaucher pour aller sauver une pauvre femme, dans le roman une reine qui vient de se voir retirer le trône après un terrible complot, et vous faites de moi un homme heureux. Un terrible complot donc qui a provoqué la mort de son mari et l'enlèvement de son fils qui ne lui sera rendu que si Redfelt, la cité sur laquelle elle régnait  jusqu'alors avec le défunt roi, livre une épée magique jusqu'alors conservée dans les profondeurs de la cité. Ce glaive magique serait doté d'une puissance terrible et pourrait bien réveiller des maléfices destructeurs. Mais Eline, le nom de la fameuse reine en détresse, ne l'entend pas de cette oreille, elle ne laissera pas son fils ni son royaume et elle décide de faire appel à un homme qu'elle a bien connu par le passé, un gitan devenu chasseur de prime, un héros génialissime : Alec Deraan. L'aventure - et quelle aventure ! - peut alors commencer !

Pour lire la chose dans son intégralité, c’est par là que ça se passe.

Je profite de cette actualité pour vous livrer le secret ultime de l’auteur. Vous êtes en effet nombreux à vous demander « pourquoi des dragons, encore des dragons ? » Ben ouais, quoi. Pourquoi pas des castors, Erik ?

Des marmottes, plutôt ! Et le genre exhibitionniste… (C’était le nom de notre bande, avant de choisir "La Ligue de l’imaginaire".) Bon, les dragons, j’adore ça, voilà. Grands, majestueux, puissants, fascinants, fougueux ou vénérables, toujours dangereux… Et puis ils volent et je suis dingue d’avions, de vaisseaux spatiaux, de dogfight. Ils ajoutent une troisième dimension à toute bataille. Grâce à eux, mes héros ne passent pas un an à traverser un continent. Ensuite, je peux jouer avec les poncifs : crachent-ils tous le feu ? Vivent-ils en société ? Valent-ils mieux que les humains question loyauté ? Si en plus ils sont doués de parole, ils deviennent des personnages passionnants ! En écrivant le tome 2 d’Elamia, La Forteresse des Secrets, j’ai compris à quel point j’aimais passer du temps en leur compagnie. Là-haut, parmi les nuages.

Pour d’autres confessions en tout genre de l’auteur, nous vous rappelons l’existence de son blog personnel à cette adresse : http://erikwietzel.blogspot.com

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